Une semaine après mon retour mouvementé, une dizaine de devoirs académique plus tard, avec un retard de sommeil à ma hauteur, et ancrée de nouveau dans un fuseau horaire – le fuseau néo-zélandais tant qu’à faire – un retour au calme psychique est fort appréciable. Pour célébrer, je suis même passée par la case shopping. Bien entendu, d’autres devoirs restent à accomplir, mais je commence d’ores et déjà à penser à mes expéditions de fin de semestre, ce qui est excellent pour l’esprit. Je l’affirme haut et fort : rien ne me brisera, ni les avions, ni le travail. Je tiens toujours bon quoiqu’il arrive et je ne manque pas de profiter à fond du présent, et du futur également.